Landes Partage est une association à but non lucratif (Loi 1901) visant à accompagner les publics en insertion vers une activité professionnelle pérenne.
Elle a pour vocation de favoriser l’insertion professionnelle des personnes en précarité, bénéficiaires des minimas sociaux ou du RSA.
Landes Partage est tournée vers la recherche d’autonomie des personnes grâce à une activité salariée génératrice de stabilité et de lien social.
Son activité support principale est une Recyclerie. Elle collecte les encombrants, objets, équipements et textiles réutilisables qu’elle valorise, puis revend à prix solidaires.
Actrice du développement durable, la Recyclerie sensibilise également ses publics au réemploi et encourage les pratiques alternatives en faveur de la réduction des déchets.
Dans le cadre de son stage de formation REMN (Responsable d’Espace de Médiation Numérique) dispensée par l'AFPA (organisme de formations professionnelles) au sein de Landes Partage, Daniel Pinheiro Pelaes a animé des ateliers de médiation numérique destinés aux salariés en insertion de l’association.
Pour garantir leur bon déroulement, l’Alpi a fourni à Landes Partage 33 ordinateurs reconditionnés.
L'accompagnement des salariés sur le volet numérique s’est fait durant 2 mois, autour de 13 sessions (individuelles et collectives) de 1h30, sur les thèmes suivants :
- accompagner les salariés dans la prise en main des outils informatiques,
- développer l’autonomie sur les démarches administratives en ligne,
- aider à la création et la mise en forme de CV et lettres de motivation,
- sensibiliser aux bonnes pratiques de sécurité numérique,
- initier les participants à l’usage d’outils numériques (agenda, IA, correcteur, etc).
Les objectifs de ces ateliers visent à lutter contre l’illectronisme et à favoriser l’autonomie dans les démarches administratives, professionnelles et personnelles.
Au final, 34 entretiens individuels ont été effectués, 27 personnes ont été formées et 25 ont souhaité repartir avec un ordinateur reconditionné.
À la fin des parcours, le constat établi souligne un manque de pratique lié à l’absence de matériel informatique ce qui, dorénavant, ne devrait plus être le cas des 25 heureux bénéficiaires.






